Une blonde richissime car divorcée d’un milliardaire texan décide soudainement d’apprendre à piloter un hélicoptère.
Elle se rend à l’héliport le plus proche où se trouve une école de pilotage. En rencontrant l’instructeur, elle lui fait part de son désir de piloter l’engin le jour même [elle est prête à y mettre le prix].
Après une estimation rapide du prix de l’instruction et le paiement d’une caution conséquente, les leçons au sol commencent. Puis viennent les leçons en vol.
Finalement, en fin de journée, la blonde insiste pour monter seule dans l’appareil : elle est prête et n’a plus besoin de chaperon, dit-elle.
L’instructeur (qui fut jadis marié à une blonde et doit encore payer les indemnités de son divorce) se laisse facilement convaincre. Il suivra les opérations de la tour de contrôle.
La blonde s’installe aux commandes, met le contact, et finalement décolle.
Parvenue à 400 mètres d’altitude elle dit à la radio :
– Qui a dit que les blondes ne pouvaient pas piloter ?! C’est super! J’adore ça. La vue est splendide !
À 800 mètres d’altitude, elle reprend la parole et dit :
– C’est vraiment facile. Je crois que je m’en sors très bien toute seule. Je vais monter à 1200 mètres.
Dix minutes plus tard, l’instructeur s’étonne de ne plus entendre son élève. Il regarde sur le radar et constate que l’hélico à disparu… mais voit de la fumée dans un champ bordant l’aérodrome. Il fonce jusque là, tire la blonde encore en vie de l’épave, et lui demande ce qui s’est passé.
Elle gémit :

– Je ne sais pas ce qui est arrivé… Tout allait parfaitement bien, mais en prenant de l’altitude, j’ai trouvé qu’il faisait de plus en plus froid, alors j’ai coupé le gros ventilateur.