Lors d’un congrès sur l’émancipation de la femme, la première à prendre la parole est allemande.
– Bouchour, mon nom est Birgit et j’ai ordonné à mon mari Helmut de préparer le dîner.
Le premier chour, je n’ai rien fu. Le second non plus, mais à partir du troisième chour, Helmut s’est mis à préparer les repas.
Applaudissements et ovation générale.
C’est au tour de l’Italienne :
– Bongiorno, je m’appelle Isabella et y’ai dit a mon mari : Luigi, à partir de domani tou nettoies toi-même la maison, capito ? Le premier jour je n’ai rien vu, le deuxième non plus, mais le troisième, Luigi avait passé l’aspirateur.
Applaudissements et ovation générale.

C’est au tour de la talibane :
– Bijour, mon nom s’y est Aicha et ji dit à mon mari : Oussama, ripasse le linge, s’pice di kounar. Le premier jour, ji rien vu du tout, le deuxième ji rien vu non plus, mais le troisième… ji recommence à rivoir un p’ti peu de l’oeil gauche !