Une dame juive, dont la belle-fille vient de mourir, téléphone à son journal local et demande à parler au responsable de la section nécrologie.
– J’aimerais passer une annonce…
– Très bien, madame, je vous écoute. Quel est le texte ?
– « Sarah Davidovich est morte. »
– C’est tout ? « Sarah Davidovich est morte » ?
– Oui c’est tout..
– Mais vous avez le droit à quatre lignes pour votre annonce. C’est compris dans le tarif.
– D’accord. Alors inscrivez : « Sarah Davidovich est morte. Mon fils Samuel est libre. »